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Réponse courte
Les otages qui ont été libérés ont raconté qu’ils ont été traités de façon pire que des détenus de prison. Par exemple : ils recevaient à peine de la nourriture, n’ont pas reçus de soins médicaux appropriés, n’avaient pas de lit, ni d’access a une douche. Les enfants ont été forcés de visionner, à répétition, le massacre du 7 octobre et étaient menacés d’être abattus s’ils pleuraient. Les capteurs ont aussi forcé les otages à écrire des lettres positives sur leur traitement à des fins de propagande.
