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Réponse courte
L’affirmation selon laquelle les pièces de monnaie portant l’inscription « Palestine » représentent un symbole tangible de l’identité nationale palestinienne est l’un des symboles les plus trompeurs de la propagande anti-israélienne. En effet, après la Première Guerre mondiale, la Grande-Bretagne a gouverné la Palestine mandataire, une région qui a été prise de l’Empire ottoman et qui comprenait l’Israël d’aujourd’hui, les soit disant territoires palestiniens et l’État officiel de Jordanie.
Pour administrer efficacement ce mandat, la Grande-Bretagne a créé les pièces de monnaie du Mandat britannique pour la Palestine. Ces pièces, qui portaient uniquement le nom de « Palestine » – une entité politique qui n’a jamais existé en tant que nation souveraine – comportaient des inscriptions trilingues, dont l’hébreu, et des symboles tels que le rameau d’olivier, reliant la monnaie à l’héritage et à la culture des juifs.
Pendant la période du mandat, le terme « palestinien » désignait à la fois les Juifs et les Arabes, et les institutions juives utilisaient souvent la désignation « Palestine ».
Réponse longue
L’affirmation selon laquelle les pièces de monnaie portant l’inscription « Palestine » représentent un symbole tangible de l’identité nationale palestinienne est un symbole de propagande anti-israélienne trompeur. Après la Première Guerre mondiale, la Grande-Bretagne a gouverné la Palestine mandataire, une région prise de l’Empire ottoman qui comprenait l’Israël moderne, les soit disant territoires palestiniens et l’État officiel de Jordanie. Pour administrer efficacement ce mandat, la Grande-Bretagne a créé les pièces de monnaie du Mandat britannique pour la Palestine. Ces pièces, qui portaient uniquement le nom de « Palestine » – une entité politique qui n’a jamais existé en tant que nation souveraine – comportaient des inscriptions trilingues, dont l’hébreu, et des symboles tels que le rameau d’olivier, reliant la monnaie à l’héritage et à la culture des juifs. À l’époque du mandat, le terme « palestinien » désignait à la fois les Juifs et les Arabes, et les institutions juives utilisaient souvent la désignation « Palestine ». Ces choix graphiques reconnaissaient subtilement l’importance historique et religieuse de la terre pour le peuple juif. Par conséquent, ces pièces n’apportent pas la preuve de l’existence d’un État palestinien préexistant.
Réponse longue
L’affirmation selon laquelle les pièces portant l’inscription « Palestine » représentent un symbole tangible de l’identité nationale palestinienne est un symbole de propagande anti-israélienne trompeur.
Après la Première Guerre mondiale, la Grande-Bretagne a pris le contrôle de la Palestine mandataire, un territoire découpé de l’Empire ottoman englobant l’actuel Israël, les territoires palestiniens et la Jordanie. Avant 1927, la région dépendait de diverses monnaies étrangères, principalement celles de la Turquie et de l’Égypte. Pour administrer efficacement le mandat, la Grande-Bretagne a mis en place un système monétaire et a frappé des pièces de monnaie britanniques pour le mandat palestinien. Ces pièces sont uniques car elles portent le nom de « Palestine », en référence à une entité politique qui n’a jamais existé en tant que nation souveraine. Pendant cette période, le terme « palestinien » désignait à la fois les Juifs et les Arabes, et les institutions juives étaient désignées par le terme « Palestine » (par exemple, l’Orchestre philharmonique de Palestine). Même au début des années 1950, les « Palestiniens » dans les articles de presse faisaient souvent référence aux Juifs palestiniens.
Les pièces ne comportaient pas de symboles religieux, mais des rameaux d’olivier et le nom « Palestine » en anglais, arabe et hébreu, ainsi que l’acronyme hébreu « Eretz Yisrael » (« Terre d’Israël ») – représenté par les deux lettres hébraïques, aleph et yod, entre parenthèses, à côté de l’écriture hébraïque. Les inscriptions trilingues, dont l’hébreu – la langue du peuple juif et de ses textes religieux – relient la monnaie à l’héritage et à la culture juifs. Le rameau d’olivier, symbole de paix et de prospérité dans la tradition juive (et l’une des quatre espèces utilisées pendant la fête de Souccot), renforce encore ce lien. Ces choix graphiques reconnaissaient subtilement l’importance historique et religieuse de la terre pour le peuple juif. Par conséquent, l’existence de ces pièces n’étaye pas le récit d’une période antérieure d’autodétermination palestinienne et de création d’une nation, pas plus qu’elle ne constitue une preuve de l’existence d’une monnaie « palestinienne » dans le contexte d’un État palestinien souverain.