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Réponse courte
Le rapport d’Amnesty International sur Israël a été largement critiqué pour son approche partiale, ses omissions sélectives et ses définitions inventées. Le rapport diabolise Israël, ignore le rôle du Hamas dans le conflit et passe sous silence les efforts humanitaires d’Israël à Gaza. La définition de » génocide » donnée par le rapport n’est pas conforme au droit international, ce qui soulève des inquiétudes quant à son objectivité et à ses intentions sous-jacentes. En outre, les divisions internes au sein d’Amnesty International mettent en évidence la partialité de l’organisation et la controverse qui entoure le rapport.
Réponse longue
Le rapport d’Amnesty International sur Israël a été largement critiqué pour son approche biaisée, ses omissions sélectives et ses définitions inventées. Des experts juridiques et des groupes de surveillance, tels que NGO Monitor, affirment que le rapport vise à diaboliser Israël et ignore le rôle du Hamas dans la guerre, en particulier la prise d’otages et le sacrifice des habitants de Gaza en les utilisant comme boucliers humains. Le rapport passe également sous silence les efforts déployés par Israël pour atténuer la crise humanitaire à Gaza, notamment en fournissant une aide humanitaire et en collaborant avec des organisations internationales pour améliorer les conditions de vie.
Les recommandations du rapport se concentrent principalement sur les pressions à exercer sur Israël. Cette orientation sélective a suscité des inquiétudes quant à l’objectivité du rapport et à ses intentions sous-jacentes. En outre, la définition de « génocide » donnée par le rapport a été critiquée parce qu’elle ne correspond pas à la définition internationalement reconnue de la Convention sur le génocide de 1948, qui stipule clairement que le génocide requiert l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux. Les critiques affirment que le rapport dénature le droit international et déforme les faits pour les faire correspondre à un récit prédéterminé. Certains ont même accusé Amnesty de promouvoir un sentiment anti-israélien et de contribuer à un climat de dé-légitimation de l’État juif. Les accusations du rapport ont été qualifiées par l’État d’Israël de « déplorable libelle de sang » ayant des racines historiques dans l’antisémitisme.
Les divisions internes au sein d’Amnesty International, la branche israélienne prenant ses distances avec le rapport de l’organisation mondiale, mettent encore plus en évidence la partialité de l’organisation et la controverse qui entoure ses conclusions.